Mon approche du minimalisme n’est pas en premier lieu celle de la décroissance mais plutôt celle d’une ultra-consommatrice.
Il faut en effet faire preuve d’un réel fétischisme des objets pour passer des jours, des semaines, des mois et des années à sélectionner, trier, lister ses possessions.
Le minimalisme est-il le chemin de la liberté ou un enfermement dans nos névroses … à suivre … la route sera longue !